02/15/2013
♬ Metallica – L’armée utilise leurs chansons
Le soldat américain qui a tué Oussama Ben Laden en 2011 confie à la presse que les chansons de
Metallica font parties de ses méthodes d’interrogatoire.
Metallica font parties de ses méthodes d’interrogatoire.
En effet, à travers son interview donnée au magazine
américain Esquire, le soldat anonyme aborde les différentes méthodes que l’armée américaine utilisait durant les interrogatoires : « Au début de la guerre
en Irak, nous utilisions la musique de Metallica pour canaliser l’agressivité des gens avant de les interroger. Metallica a eu vent de cela et nous a dit ‘hé, s’il vous plait, n’utilisez
pas notre musique parce que nous ne voulons pas promouvoir la violence’. Je me suis dit ‘les gars, vous avez un album qui s’appelle Kill’Em
All’. [ndlr : Tuez les tous] ».
américain Esquire, le soldat anonyme aborde les différentes méthodes que l’armée américaine utilisait durant les interrogatoires : « Au début de la guerre
en Irak, nous utilisions la musique de Metallica pour canaliser l’agressivité des gens avant de les interroger. Metallica a eu vent de cela et nous a dit ‘hé, s’il vous plait, n’utilisez
pas notre musique parce que nous ne voulons pas promouvoir la violence’. Je me suis dit ‘les gars, vous avez un album qui s’appelle Kill’Em
All’. [ndlr : Tuez les tous] ».
Mais les chansons de Metallica sont aussi utilisées comme instrument de torture à la prison de
Guantanamo. Et à ce sujet, James Hatfiels, le chanteur du groupe, ne se montre pas aussi ferme lors de son intervention à la télévision allemande en 2008 : « D’un côté je suis content
que ma musique ait été choisie, j’en suis fier et […] elle affecte ces gens. […] D’un autre côté ça m’embête parce que je ne veux pas que nous soyons associés à un quelconque discours
politique. Nous sommes le plus apolitiques possible […] car nous nous voulons rassembler les gens. »
Guantanamo. Et à ce sujet, James Hatfiels, le chanteur du groupe, ne se montre pas aussi ferme lors de son intervention à la télévision allemande en 2008 : « D’un côté je suis content
que ma musique ait été choisie, j’en suis fier et […] elle affecte ces gens. […] D’un autre côté ça m’embête parce que je ne veux pas que nous soyons associés à un quelconque discours
politique. Nous sommes le plus apolitiques possible […] car nous nous voulons rassembler les gens. »